Historique
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ce plat manifeste une double inspiration : italienne dans son décor central qui évoque le décor des majoliques, chinoise sur l'aile peinte de signes taoïstes stylisés. Ces signes sont empruntés à la porcelaine chinoise de l'époque Ming importée au Pays-Bas vers la fin du 16e siècle Le revers, à talon, de la pièce est recouvert d'un vernis plombifère, alors que la surface peinte, qui porte la marque des supports de cuisson, est revêtue d'un émail stannifère
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Exposition
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Delft, capitale de la faïence, Saint-Omer, musée de l'hôtel Sandelin, 1983, n° 142 ; Chefs-d'oeuvre de la faïence du musée de Saint-Omer, Saint-Omer, musée de l'hôtel Sandelin, 1988, n° 1
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Bibliographie
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Boyazoglu, Jan, et Blazy, Guy, Delft, capitale de la faïence, Saint-Omer, 1983, p. 65 ; Bastian, Jacques, Becquart, Geneviève, Blazy, Guy, Blazy, Simone, Desnuelle, Marguerite, Dhérent, Catherine, Fay-Hallé, Antoinette, Lahaussois, Christine, Chefs-d'oeuvre de la faïence du musée de Saint-Omer, Saint-Omer, musée de l'hôtel Sandelin, 1988, p. 13
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