Historique
|
À ses débuts, Josse II de Momper eut recours avec bonheur à une formule éprouvée par les peintres du Nord pour créer une sorte de perspective atmosphérique : à mesure que le regard se perd dans les lointains, les tons chauds laissent la place aux tons froids. Son originalité réside davantage dans la vie qu'il parvient à imprimer à la scène qui se déroule au premier plan, en pleine lumière, entre les coulisses.
|
Bibliographie
|
[Jean-Paul Lucas], Notices des tableaux, statues, bustes, dessins composant le musée de Toulouse, Toulouse, impr. Caunes, 1805. (n° 123) [François Jacquemin], Notice des tableaux, statues, bustes, dessins, composant le musée de Toulouse, Toulouse, impr. Douladoure, 1813. (n° 139) [François Jacquemin et Suau], Notice des tableaux, statues, bustes, bas-reliefs et antiquités composant le musée de Toulouse, Toulouse, impr. Douladoure, s.d. (1818 ou 1820). (n° 156) [François Jacquemin et Suau], Notice des tableaux et dessins conservés dans le musée de Toulouse, Toulouse, impr. Douladoure, 1828. (n° 157) Appendice au catalogue de E. Roschach (1908) par Henri Rachou, Toulouse, éd. Privat, 1920. (n° 867)
|