Description
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Sanguine, avec rehauts de craie blanche, sur papier beige. Collé en plein (montage du XVIIIè siècle) ; annoté au verso du montage, à la plume et encre noire :26 la nation
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Précision sujet représenté
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Rousselet Gilles gravure en rapport, Séguier Pierre chancelier, Madeleine sainte, Marie sainte, Vierge Marie, Marie Madeleine sainte, Jésus-Christ, Christ ; Paris, Bibliothèque Nationale, Cabinet des Estampes, oeuvre en rapport ; Rome ; oeuvre en rapport ; Nouveau Testament ; iconographie religieuse ; Le Brun, Charles, La Vierge, la Madeleine... pleurant devant le corps de Jésus ; Déploration ; Déploration du Christ ; Déploration au pied de la croix
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Commentaires
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Le tableau La Vierge, la Madeleine... pleurant devant le corps de Jésus descendu de la croix est connu par une planche de G. Rousselet (Weigert, 1965, n° 83 ; BnF, est., Ed 40) gravée en sens inverse, en 1663. Il comporte de nombreuses figures, contrairement au tableau Le Christ mort sur les genoux de la Vierge que Le Brun a envoyé de Rome au chancelier Séguier (musée du Louvre, Inv. 2887 ; Thuillier, 1963, n° 8). Deux dessins du Louvre (Inv. 28382 et 27880) peuvent être mis en rapport avec ce tableau qui semble perdu. Etude pour le manteau de la Madeleine. Dans ce dessin, comme dans le dessin Inv. 28382, le style des draperies, creusées par de forts accents, est celui des recherches de Le Brun jusqu'en 1660. La gravure de Rousselet, datée de 1663, pourrait donc être postérieure de plusieurs années à la peinture. (L. Beauvais, Musée du Louvre, Département des Arts graphiques, Inventaire général des dessins, Ecole française, Charles Le Brun, 1619-1690, tome I, Paris, RMN, 2000, n° 1332, p. 383) Atelier de Le Brun. Entré dans les collections royales en 1690 ; paraphe de Jules Robert de Cotte (L. 1963) ; marques de la Commission du Museum (L. 1899) et du premier Conservatoire (ancien L. 2207).
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