Commentaires
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Il aurait besoin d'argent que Duret lui doit pour payer son loyer. Je ne vends pas de quoi vivre. (V. de Chillaz, Musée du Louvre, Département des arts graphiques, Musée d'Orsay, inventaire général des autographes, Paris, RMN, 1997, Aut. 3509, p. 383.) Fait partie d'un ensemble de trente lettres adressées à Théodore Duret (1870-1886) (Aut. 3491 à 3520) Lettre présentée dans l'ouvrage suivant : Bailly-Herzberg, 1980, I, p. 101 Paris, Hôtel Drouot, 22 février 1935, n° 113 ; achat par le musée du Louvre.
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