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Réponse n° 38
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Domaine
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archéologie ; médiéval
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Dénomination
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agrafe (7)
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Auteur/exécutant
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anonyme (bronzier)
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Lieu création / utilisation
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France, Bourgogne, Saône-et-Loire, Autun (lieu de création)
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Epoque/style/mouvement
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haut moyen âge
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Historique
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"[...] Les accessoires vestimentaires ou les objets de parure nous sont au contraire parvenus en grand nombre. Parmi ceux-ci, les fibules, destinées à maintenir le vêtement, sont particulièrement nombreuses; réalisées communément en bronze, parfois enrichies d'une décoration souvent émaillée, elles allient un usage fonctionnel à un aspect décoratif : au cours de leur évolution, de simples agrafes à fonction utilitaire, elles se transforment en de véritables broches aux formes diversifiées." Autun, Augustodunum, 1987, p. 175
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Découverte/collecte/récolte
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France ; Bourgogne ; Saône-et-Loire ; Autun (lieu de découverte) ; (19e siècle, date de découverte)
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Matériaux/techniques
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bronze, moulage, incisé
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Description
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7 agrafes à double crochet en bronze moulé et incisé ; 7 agrafes à double crochet en bronze moulé et incisé : "On compte trois exemplaires de grandes dimensions, à surface aplatie, décorés de stries. Des parallèles peuvent être trouvés à Lugny-Saint-Pierre. Trois autres agrafes de grandes dimensions, au corps subrectangulaires, ont une perforation centrale et des pointes recourbées; deux autres séries comparables de dimensions moyennes ou de petite taille et de types variables, sont parfois décorées de cercles pointés ou de stries, et, avec quelques exceptions, perforées au centre. Comme le souligne Gaillard de Sémainville, les agrafes à double crochet sont souvent trouvées dans les sépultures de la fin de l'époque mérovingienne et peut-être postérieures, dans le mâconnais comme dans les Alpes françaises. Elles sont souvent le seul objet dans les tombes, mais on les connaît depuis la fin de l'époque romaine, et elles se trouvent aussi bien les contextes d'habitat que dans les nécropoles. Ainsi si elles ont pu servir dans certains cas à fixer un suaire, elles sont aussi utilisées dans la vie quotidienne. On les portait le plus souvent par paire, liées par une chaînette attachées par les perforations centrales." Autun, Augustodunum, p. 345, n° 689 ; "7 petites agrafes, bronze, aplaties au milieu et recouvertes d'une petite plaque en bronze, recourbées aux extrémités et pointues. Différents modules la plus grande : 0,023 La plus petite : 0,02." Inventaire Bulliot
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Dimensions
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Longueur en cm 2.00 à 2.50 (B.702.3-14) ; Largeur en cm 0.50 à 1.00 (B.702.3-14) ; Longueur en cm 3.00 (B.702.1-2) ; Largeur en cm 1.70 (B.702.1-2) ; Epaisseur en cm 0.50 et 0.30 (B.702.1-2)
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Lieu de conservation
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Autun ; musée Rolin
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Statut juridique
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propriété de la commune ; mode d'acquisition inconnu ; Autun ; musée Rolin
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Date acquisition
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1954 entrée matérielle
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Numéro d'inventaire
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B 702
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Exposition
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Autun Augustodunum - Capitale des Eduens, musée Rolin - Hôtel de Ville - Autun, 16 mars- 27 octobre 1985 (p. 345, n° 689)
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Bibliographie
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Autun Augustodunum - Capitale des Eduens, musée Rolin - Hôtel de Ville - Autun, 16 mars- 27 octobre 1985 (p. 345, n° 689)
Inventaire B. Archéo, fiches inventaire, Bulliot
Revue Archéologique de l'Est (RAE) (Gaillard de Sémainville, "Les cimetières mérovingiens de la côte chalonnaise et de la côte mâconnaise", R.A.E., 3e suppl., 1980, pp. 170-171; p. 38, pl. 57, 9;)
Colardelle, "Sépultures et traditions funéraires du Ve au X3e siècles dans les Alpes françaises du Nord", Grenoble, 1984 (p. 356, fig. 129)
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Copyright notice
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© Autun, musée Rolin, © Service des musées de France, 2015
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Crédits photographiques
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© Claudine Massard
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Renseignements sur le musée
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01610009557
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catalogue - notice complète
