Précision sujet représenté
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apôtre, Esprit saint, Saint-Esprit, Olier M. directeur du Séminaire de Saint-Sulpice, Audran Gérard gravure en rapport ; Paris, Eglise Saint-Sulpice, séminaire ; Paris, Eglise Saint-Sulpice, séminaire, oeuvre en rapport ; oeuvre en rapport ; Paris, Couvent des Carmélites de la rue Saint-Jacques ; Paris, Couvent des Carmélites de la rue Saint-Jacques, oeuvre en rapport ; Paris, église des Carmélites ; Paris, église des Carmélites, oeuvre en rapport ; Nouveau Testament ; iconographie religieuse ; Descente du Saint-Esprit ; Le Brun, Charles, La Descente du Saint-Esprit ; Pentecôte
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Commentaires
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Le tableau La Descente de Saint-Esprit a été commandé par M. Olier, fondateur et supérieur du séminaire de Saint-Sulpice, dans le cadre d'un contrat passé en 1654, pour le décor de l'ensemble de la chapelle. Achevé en 1657, il était destiné au maître-autel et inséré dans un retable, cintré dans la partie supérieure. Le tableau a été gravé par G. Audran (Weigert, I, 1939, n° 20, p. 128 ; cuivre à la chalcographie n° 994). Le Brun en fit une copie pour les Carmélites du faubourg Saint-Jacques. Le Louvre conserve probablement le tableau de Saint-Sulpice qui aurait été amputé de sa partie supérieure Inv. 2888, (Thuillier, 1963, n° 24). Cette feuille rassemble des recherches pour deux des apôtres groupés au premier plan du tableau. En haut et en bas, à gauche, études pour le buste et la jambe de l'apôtre levant les bras, dans la partie gauche de la peinture. En bas, à droite, étude pour l'apôtre mettant la main en visière, assis devant le précédent. Les autres études de jambes sont peut-être pour le même apôtre, mais celui-ci étant masqué par d'autres personnages, elles n'apparaissent pas dans le tableau pour cette partie de l'oeuvre, cf. également Inv. 28451. (L. Beauvais, Musée du Louvre, Département des Arts graphiques, Inventaire général des dessins, Ecole française, Charles Le Brun, 1619-1690, tome I, Paris, RMN, 2000, n° 1306, p. 377) Atelier de Le Brun. Entré dans les collections royales en 1690 ; paraphe de Jean Prioult (L. 2953) au verso ; marque du musée (L. 1886).
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