Historique
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les statuettes lilloises s'apparentent aux figurines de porcelaine tendre que produisaient Saint-Cloud, Mennecy et Chantilly. Elles rappellent les descriptions des voyageurs européens en Chine au 17e siècle, et témoignent du goût du siècle suivant pour un exotisme de fantaisie. Peintes à Lille dans une vive polychromie dominée par un jaune très lumineux, elles servaient fréquemment de boîtes à épices, de porte-bouquets ou de chandeliers voire de porte-montres
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Exposition
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Céramique régionale ancienne, Lille, 1951, n° 225 ; Chefs-d'oeuvre de la faïence du musée de Saint-Omer, Saint-Omer, musée de l'hôtel Sandelin, 1988, n° 85
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Bibliographie
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Bastian, Jacques, Becquart, Geneviève, Blazy, Guy, Blazy, Simone, Desnuelle, Marguerite, Dhérent, Catherine, Fay-Hallé, Antoinette, Lahaussois, Christine, Chefs-d'oeuvre de la faïence du musée de Saint-Omer, Saint-Omer, musée de l'hôtel Sandelin, 1988, n° 85, p. 73
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