Domaine
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médiéval ; mérovingien ; costume - accessoires du costume ; archéologie
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Dénomination
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agrafe (à double crochet)
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Période création/exécution
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7e siècle ; 8e siècle
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Découverte/collecte/récolte
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France
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Précision découverte/collecte
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France de l'Est (?)
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Matériaux/techniques
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bronze (moulé, martelé)
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Description
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Epoque mérovingienne. Petite agrafe à double crochet de section rectangulaire, aux bords supérieurs irrréguliers. Au milieu de l'agrafe une barre lisse accueille un petit trou légèrement décentré. Sur les côtés, le décor est fait de stries horizontales séparées des crochets par des bordures verticales saillantes. Les crochets qui partent des angles inférieurs du corps de l'agrafe sont peu recourbés Datation proposée pour cette agrafe : VIIe siècle
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Dimensions
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Longueur en cm 2.9 ; Largeur en cm 1.3 ; Epaisseur en cm 0.3 ; Poids en gr 2.53
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Inscriptions
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numéro
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Précision inscriptions
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sur petite étiquette où l'on peut lire : "118" ce qui correspond au n°118 de l'ancienne collection Seidler
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Utilisation/destination
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parure
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Précision utilisation/destination
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Les agrafes a double crochet ont une morphologie beaucoup moins variée que les fibules. Ce type de parure est identifiable par la présence d'un corps central dont la forme varie souvent d'un objet à l'autre, bien que le rectangle soit la configuration privilégiée. Ce dernier reçoit le décor et est habituellement percé d'un orifice circulaire centré ou périphérique. A chaque extrémité de ce corps un crochet est recourbé vers l'intérieur. Les agrafes à double crochet permettent d'attacher le vêtement. Elles sont connues dès l'époque romaine mais leur utilisation pour la période mérovingienne est particulièrement attestée à partir du VIIe siècle. Dans un premier temps, contemporaines des fibules ansées symétriques et des fibules estampées et filigranées, elles se portaient ensemble et quelquefois reliées par une chaînette maintenue par un petit crochet passé par le trou des agrafes. Avec la disparition progressive des dépôts funéraires, elles sont les derniers objets retrouvés, souvent seuls en nombre variable, dans les tombes de la fin de la période mérovingienne à partir du VIIIe siècle, bien que leur présence soit attestée jusqu'au Ixe siècle. Liées à une tradition romaine, elles sont présentes dans des régions où les populations germaniques ont subi une importante romanisation au nord et à l'est de la Loire, avec une concentration particulière en Burgondie, Suisse Occidentale et Auvergne
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Etat de conservation
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En 2012 : Bon état
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Lieu de conservation
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Nantes ; musée départemental Dobrée
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Musée de France au sens de la loi n°2002-5 du 4 janvier 2002
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Statut juridique
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propriété du département ; achat ; Loire-Atlantique ; musée départemental Dobrée
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Date acquisition
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1884
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Anciennes appartenances
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Collection privée, Seidler Charles ; Nantes ; Seidler Charles
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Numéro d'inventaire
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884.3.263 ; Seidler: 118 (Ancien numéro)
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Bibliographie
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cat 1964 (Art mérovingien) (Costa 354) K. Peau "Parures et bijoux mérovingiens des collections du Musée Dobrée à Nantes". Mémoire de Maîtrise Université de Nantes, 2000. (p. 36, n°20)
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Rédacteur
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Chaudriller Séverine
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Copyright notice
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© Nantes, musée départemental Dobrée, © service des musées de France, 2012
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Crédits photographiques
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© musée Dobrée
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demande de photographie et/ou de conditions d'utilisation
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Renseignements sur le musée
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Contact musée
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07450014349
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