Domaine
|
ethnologie ; Océanie ; croyances - coutumes
|
Dénomination
|
peigne à tatouer
|
Découverte/collecte/récolte
|
Océanie ; Polynésie ; Iles Fidji (lieu de collecte)
|
Matériaux/techniques
|
bois ; fibre végétale (tressé)
|
Description
|
A une extrémité du manche circulaire du roseau est solidement fixée par des fibres végétales tressées une lamelle d'os dont l'extrémité est dentelée, d'une longueur de 4 cm.
|
Dimensions
|
poids en g : 15 ; hauteur en cm : 22 ; largeur en cm : 4profondeur en cm : 1,5
|
Utilisation/destination
|
tatouage
|
Précision utilisation/destination
|
Répandu dans toute l’Océanie, le tatouage permanent répond à des fonctions précises et codifiées : affirmer son identité et son statut, perpétuer la mémoire du clan, se protéger des maladies et des esprits. En Polynésie, les tatoueurs utilisaient un martelet pour frapper le manche d’un peigne aux dents imbibées d’encre. Les riches motifs qui pouvaient parfois recouvrir la totalité du corps.
|
Lieu de conservation
|
Toulouse ; museum d'histoire naturelle
|
|
Musée de France au sens de la loi n°2002-5 du 4 janvier 2002
|
Statut juridique
|
propriété de la commune ; Toulouse ; mode d'acquisition inconnu ; museum d'histoire naturelle
|
Date acquisition
|
12/03/1883
|
Numéro d'inventaire
|
ETH AC FI 71
|
Rédacteur
|
Sylviane Bonvin
|
Copyright notice
|
© Toulouse, muséum d'histoire naturelle, 2018 © Service des musées de France, 2018
|
Crédits photographiques
|
© Toulouse, muséum d'histoire naturelle
|
|
Renseignements sur le musée
|
Site complémentaire
|
2000 ans, 2000 images
|
|
70130002812
|